jeudi, mai 08, 2008

Valparaiso Avril 2008



Une fenêtre ouverte à Valparaiso.

Après 13 heures de vol nous arrivons enfin à Santiago.

Un douanier assermenté me colle une multa de 34000 pesos (680 pesos=1 euros) pour 2 mandarine non déclarée ! 2 heures plus tard nous sommes ENFIN à Valparaiso

.Sur une des 42 buttes, j’habite au milieu entre ciel et mer, les rues semblent monter vers le ciel et le soir les lumières de la ville brillent comme des étoiles. Une ville Poétique avec des murs peint et les maisons qui rivalisent avec des couleurs insensés et les termites qui volent comme de mouches. Arriveront-ils un jour à manger les bicoques en bois et tôles ondulés ? Les taxis collectifs sillonnent la ville jour et nuit pour 300 pesos par personnes et trajets.

Les gens circulent aussi en cheval ou sur un âne.

Les marchands de bouteilles de gaz en camion, chacun avec leur son en tapant sur les bouteilles vous réveillent.

Milles choses à voir, entendre, rêver, rêver d’un jour revenir essayer les 15 funiculaires, revoir la maison de Pablo Neruda, Vicente Vargas (ou nous habitons), Irène Dominguez : la plus parisienne de peintres chiliennes. Me baigner en compagnie des phoques et pélicans sur la playa Caleta Portales, écouter Peralta ( ?) chanter Georges Brassens en espagnol et Violetta Para en français.

Libellés :